Des véhicules d’origine non identifiée sur nos routes
Publié le : 2013-12-03

Lors de son passage à l’émission de la Chaîne III, intitulée « invité de la rédaction », le directeur général de l’Enacta (Entreprise nationale du contrôle technique automobile), Abdallah Leghrieb, se voit dans l’obligation de tirer à coup sûr la sonnette d’alarme en ce concerne les véhicules « hors normes » qui, selon lui, constitue un réel danger pour notre société, d’ou l’instance d’un décret dans la nouvelle loi des finances 2014, qui vient remettre de l’ordre dans ce secteur.
Interrogé à ce sujet, le DG de l’Enacta ne tourne pas autour du pot pour dénoncer l’anarchie dans le secteur du véhicule neuf en Algérie. D’après ses dires, et étant donné que le véhicule n’est pas un produit ordinaire car il exige beaucoup de paramètres de sécurité, il est important que qualité et la conformité des véhicules importés relèvent du ministère de l’Énergie et des Mines à travers le service de l’homologation pour permettre ainsi une traçabilité sur la qualité du produit. Ainsi, et dans le même cadre, seul les concessionnaires pourront dès lors proposer des services après-vente et la disponibilité de la pièce de rechange. Une loi qui vient donc affirmer leurs responsabilités.
Dans un second ordre, M. Leghrieb met en évidence un point culminant et essentiel dont les répercussions pourraient être fatale pour le secteur de l’automobile en grande partie. L’origine de certaines voitures importées, dont la durée de vie est inférieure à 5 et 10 ans pose problème quant à l’origine même de leur montage. Selon lui, il est difficile de déceler correctement leur provenance d’ou l’importance de trouver des solutions rapides et efficaces pour ne pas avoir à affronter une seconde anarchie dans le secteur de l’auto après la nouvelle loi de finances 2014. « L’origine du véhicule est extrêmement importante, car en un temps durant, la traçabilité du véhicule même nous permettra de demander au constructeur d’effectuer les ajustements qu’il faut en matière de sécurité et de son suivi. Dans le cas contraire, on ne sait pas vers qui se tourner demain !”, dira-t-il plus tard dans son entrevue à la Radio nationale. Le plus fatal dans tout ça à son égard, est l’absence de sécurité active soit-elle ou passive. Il illustre ses propos en révélant que lors des accidents de la route, il y eut du mal à extraire les victimes de leurs véhicules. Il allègue, indirectement que les véhicules en équipements de base, soit donc moins chères, sont les plus vulnérable et plus exposées à ce genre d’incidents. Il inspire les nouveaux acheteurs à faire plus attentions à leurs futures acquisitions et penser un peu plus à leur sécurité.
Interrogé à ce sujet, le DG de l’Enacta ne tourne pas autour du pot pour dénoncer l’anarchie dans le secteur du véhicule neuf en Algérie. D’après ses dires, et étant donné que le véhicule n’est pas un produit ordinaire car il exige beaucoup de paramètres de sécurité, il est important que qualité et la conformité des véhicules importés relèvent du ministère de l’Énergie et des Mines à travers le service de l’homologation pour permettre ainsi une traçabilité sur la qualité du produit. Ainsi, et dans le même cadre, seul les concessionnaires pourront dès lors proposer des services après-vente et la disponibilité de la pièce de rechange. Une loi qui vient donc affirmer leurs responsabilités.
Dans un second ordre, M. Leghrieb met en évidence un point culminant et essentiel dont les répercussions pourraient être fatale pour le secteur de l’automobile en grande partie. L’origine de certaines voitures importées, dont la durée de vie est inférieure à 5 et 10 ans pose problème quant à l’origine même de leur montage. Selon lui, il est difficile de déceler correctement leur provenance d’ou l’importance de trouver des solutions rapides et efficaces pour ne pas avoir à affronter une seconde anarchie dans le secteur de l’auto après la nouvelle loi de finances 2014. « L’origine du véhicule est extrêmement importante, car en un temps durant, la traçabilité du véhicule même nous permettra de demander au constructeur d’effectuer les ajustements qu’il faut en matière de sécurité et de son suivi. Dans le cas contraire, on ne sait pas vers qui se tourner demain !”, dira-t-il plus tard dans son entrevue à la Radio nationale. Le plus fatal dans tout ça à son égard, est l’absence de sécurité active soit-elle ou passive. Il illustre ses propos en révélant que lors des accidents de la route, il y eut du mal à extraire les victimes de leurs véhicules. Il allègue, indirectement que les véhicules en équipements de base, soit donc moins chères, sont les plus vulnérable et plus exposées à ce genre d’incidents. Il inspire les nouveaux acheteurs à faire plus attentions à leurs futures acquisitions et penser un peu plus à leur sécurité.
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