"L'Algérie capable de produire 500 000 véhicules à l'horizon 2020", selon Mokhtar Chahboub, ex-PDG de la SNVI
Publié le : 2016-12-15

Selon Mokhtar Chahboub, ex-PDG de la SNVI, était l'invité de Radio M., la webradio de Maghreb Emergent, a jugé l'objectif de produire 500.000 véhicules d’ici 2020, engagé par le gouvernement, ne semble pas démesuré ni hors de porté, à l'image de de ce qui se passe chez nos voisin ou ailleurs, comme en Iran, qui produit aujourd'hui 1,5 millions de véhicules par an.
L'ex-premier responsable de la SNVI, revient dans son interview sur les objectifs essentielles et primordiales actuellement, dont le "taux d'intégration", il estime que le passage par le SKD est plus que nécessaire, mais ne doit pas pour autant durer longtemps. Mr Chahboub rappel les négociations initiale avec le groupe Renault prévoyait un taux d'intégration de 35 durant les premières années, alors que actuellement, les chiffres annoncés par Renault au bout de deux ans sont de 30. Encore faut-il définir le taux d'intégration, rappel Mr Chahboub, "La nôtre retenait la notion d’intégration de la production à l’intérieur de l’usine. Les chiffres donnés par Renault ces dernières semaines se basent sur une définition économique plus large qui intègre les services, les assurances, etc. », précise-t-il, en rajoutant que c'est là, une réalité du problème essentiel de l’implication progressive des sous- traitants algériens dans l’industrie de montage nationale. Selon lui, L’Algérie dispose d’industriels qui peuvent participer à ce processus d’intégration dans l’industrie automobile « pour peu que les partenaires étrangers les assistent et contribuent loyalement aux mises à niveau nécessaires ». Un travail préliminaire avait identifié dans ce domaine « une liste d’une soixantaine d’entreprise algériennes qui étaient susceptibles de participer au processus d’intégration dans l’usine de Oued Tlélat ».
Maghreb Emergent
L'ex-premier responsable de la SNVI, revient dans son interview sur les objectifs essentielles et primordiales actuellement, dont le "taux d'intégration", il estime que le passage par le SKD est plus que nécessaire, mais ne doit pas pour autant durer longtemps. Mr Chahboub rappel les négociations initiale avec le groupe Renault prévoyait un taux d'intégration de 35 durant les premières années, alors que actuellement, les chiffres annoncés par Renault au bout de deux ans sont de 30. Encore faut-il définir le taux d'intégration, rappel Mr Chahboub, "La nôtre retenait la notion d’intégration de la production à l’intérieur de l’usine. Les chiffres donnés par Renault ces dernières semaines se basent sur une définition économique plus large qui intègre les services, les assurances, etc. », précise-t-il, en rajoutant que c'est là, une réalité du problème essentiel de l’implication progressive des sous- traitants algériens dans l’industrie de montage nationale. Selon lui, L’Algérie dispose d’industriels qui peuvent participer à ce processus d’intégration dans l’industrie automobile « pour peu que les partenaires étrangers les assistent et contribuent loyalement aux mises à niveau nécessaires ». Un travail préliminaire avait identifié dans ce domaine « une liste d’une soixantaine d’entreprise algériennes qui étaient susceptibles de participer au processus d’intégration dans l’usine de Oued Tlélat ».
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#industrie#automobile#algérie