Motorisation VTI : Vue globale
تاريخ النشر : 2013-02-21
Depuis quelques années, et avec l’entrée en vigueur de normes antipollution de plus en plus sévère, mettre au point des véhicules efficients est devenue une priorité pour les constructeurs automobiles.
Pour baisser la consommation et diminuer les émissions de CO2 de leurs modèles, les constructeurs ont recours à deux voies distinctes mais complémentaires. La première consiste à réduire le poids des voitures, la deuxième réside dans le fait de les équiper de moteurs moins énergivores. La parade trouvée par les manufacturiers pour construire de nouveaux moteurs moins gourmands est d’en réduire la cylindrée. Cela tout en gardant des niveaux de puissance et de couple identiques voire plus élevés comparé aux moteurs à la cylindrée supérieure, autrement dit ils utilisent la technique du downsizing.
C’est dans cette perspective que Peugeot a développé en partenariat avec BMW les nouvelles motorisations Vti, ce groupe motopropulseur est proposé en quatre variantes pour une cylindrée allant de 1.0 à 1.6 l, avec des puissances oscillant entre 68 et 120 Ch. Le 1.0 et le 1.2 sont des moteurs trois cylindres, les 1.4 et 1.6 sont des quatre cylindres. Tous ces moteurs sont équipés de 4 soupapes par cylindre, 2 pour l’admission et 2 pour l’échappement.
En Algérie, le Vti est présent en 1.0 68 Ch sur la mini-citadine 107, en 1.2 82 Ch sur la 208, en 1.4 95 Ch sur la 207 , en 1.4 98 Ch sur la 308, et aussi en 1.6 120 Ch sur la 208 et la 308. Quant à la 301, elle est équipée des versions 1.2 et 1.6 avec une puissance ramenée à 72 et 115 Ch.
Vu que cette technologie est récente, parler de fiabilité sur le long terme reviendrait à tirer des plans sur la comète. Mais, pour l’instant aucun problème majeur ou récurrent n’a été signalé. En consultant les forums consacrés aux clients de la marque au lion, on peut s’apercevoir que la plupart d’entre eux n’ont pas observé des problèmes de fiabilité avec leurs moteurs Vti, même ceux qui ont roulé plus de 40000 km avec, exception faite de quelques-uns qui ont rencontrés des soucis mineurs. L’absence de turbo a aussi pour conséquence la réduction des frais d’entretien, aussi les Vti sont peu onéreux vu qu’ils représentent l’entrée de gamme par rapport aux Hdi.
En attendant le lancement du THP 1.2 qui est prévu pour la fin de l’année, Peugeot accuse un retard sur ses concurrents qui se sont mis aux moteurs turbocompressés ce qui leurs permet de revendiquer des puissances supérieures à consommation égale. Pour ne citer qu’un exemple, Renault avec la Clio 4 TCe 0.9 développant 90 Ch et 135 Nm de couple pour une consommation de 4.5 l/100 km en cycle combiné, la même qu’une 208 1.2 qui développe uniquement 82 Ch et 118 Nm.
Tous les grands constructeurs possèdent désormais leurs propres alternatives, chacun d’entre eux optant pour une technologie différente. Il y en qui ont fait le choix de l’atmosphérique à l’image du Vti, d’autres qui utilisent la suralimentation grâce à un turbocompresseur ou à un compresseur ou les deux en même temps.
Pour baisser la consommation et diminuer les émissions de CO2 de leurs modèles, les constructeurs ont recours à deux voies distinctes mais complémentaires. La première consiste à réduire le poids des voitures, la deuxième réside dans le fait de les équiper de moteurs moins énergivores. La parade trouvée par les manufacturiers pour construire de nouveaux moteurs moins gourmands est d’en réduire la cylindrée. Cela tout en gardant des niveaux de puissance et de couple identiques voire plus élevés comparé aux moteurs à la cylindrée supérieure, autrement dit ils utilisent la technique du downsizing.
C’est dans cette perspective que Peugeot a développé en partenariat avec BMW les nouvelles motorisations Vti, ce groupe motopropulseur est proposé en quatre variantes pour une cylindrée allant de 1.0 à 1.6 l, avec des puissances oscillant entre 68 et 120 Ch. Le 1.0 et le 1.2 sont des moteurs trois cylindres, les 1.4 et 1.6 sont des quatre cylindres. Tous ces moteurs sont équipés de 4 soupapes par cylindre, 2 pour l’admission et 2 pour l’échappement.
En Algérie, le Vti est présent en 1.0 68 Ch sur la mini-citadine 107, en 1.2 82 Ch sur la 208, en 1.4 95 Ch sur la 207 , en 1.4 98 Ch sur la 308, et aussi en 1.6 120 Ch sur la 208 et la 308. Quant à la 301, elle est équipée des versions 1.2 et 1.6 avec une puissance ramenée à 72 et 115 Ch.
Vu que cette technologie est récente, parler de fiabilité sur le long terme reviendrait à tirer des plans sur la comète. Mais, pour l’instant aucun problème majeur ou récurrent n’a été signalé. En consultant les forums consacrés aux clients de la marque au lion, on peut s’apercevoir que la plupart d’entre eux n’ont pas observé des problèmes de fiabilité avec leurs moteurs Vti, même ceux qui ont roulé plus de 40000 km avec, exception faite de quelques-uns qui ont rencontrés des soucis mineurs. L’absence de turbo a aussi pour conséquence la réduction des frais d’entretien, aussi les Vti sont peu onéreux vu qu’ils représentent l’entrée de gamme par rapport aux Hdi.
En attendant le lancement du THP 1.2 qui est prévu pour la fin de l’année, Peugeot accuse un retard sur ses concurrents qui se sont mis aux moteurs turbocompressés ce qui leurs permet de revendiquer des puissances supérieures à consommation égale. Pour ne citer qu’un exemple, Renault avec la Clio 4 TCe 0.9 développant 90 Ch et 135 Nm de couple pour une consommation de 4.5 l/100 km en cycle combiné, la même qu’une 208 1.2 qui développe uniquement 82 Ch et 118 Nm.
Tous les grands constructeurs possèdent désormais leurs propres alternatives, chacun d’entre eux optant pour une technologie différente. Il y en qui ont fait le choix de l’atmosphérique à l’image du Vti, d’autres qui utilisent la suralimentation grâce à un turbocompresseur ou à un compresseur ou les deux en même temps.
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